Comme l’avait reconnu le juriste et historien du droit Villey, un des innombrables effets pervers du droitdelhommisme dans ses applications dans le domaines légal est la confusion qu’il entraîne entre la morale et la justice. Depuis la mort de ce grand juriste, les choses, sur ce plan aussi, ont encore empiré : de facto, la justice a carrément été remplacée par la morale, dans des tribunaux qui sont, bonnets blancs blancs bonnets, soit aux mains des rouges, soit aux mains des francs-maçons. Et c’est au nom de la morale que la peine de mort a été abolie par les suppôts mitterandopathes de la subversion.
Ceci étant posé, deux observations s’imposent : d’abord, « Imhotep », en bon bayroutiste, en bon chrétien qui s’ignore (les pires), se place sur le même terrain que Guaino : celui de l’émotion, de la morale, du sentiment, de l’Amour, de la compassion, etc. Ensuite, il fait mine de prendre au sérieux les envolées électoralo-lyriques de Guaino. Mais, puisque, de l’avis même d’« Imhotep », la déclaration de Guaino a des visées purement électoralistes et que, par conséquent, elle restera sans effet, pourquoi donc « Imhotep » perd-il son temps à risquer l’infarctus en pontifiant, en s’essayant à donner des leçons de morale ?
La réalité est que Guaino et « Imhotep » sont tous deux des idiots extrêmement utiles, dans la mesure où tous deux ont pour seul point de référence ultime la prison à perpétuité dans ce type de cas et, bien entendu, la prison à perpétuité pour des criminels nourris et blanchis dans des prisons de haute sécurité hyper-modernes grand confort avec accès gratuit à internet et possibilité pour ces criminels de faire gratuitement des études qui leur permettront sûrement d’entrer dans la magistrature un jour ou l’autre.
« Imhoptep » et Guaino copulent dans la même hypocrisie jouissive : car chacun sait qu’aujourd’hui il n’existe même plus de prison à perpétuité : trente ans au grand maximum... tout confort.
Au-delà de tous ces miasmes hystériques guaino-imhotépiens centro-bayroutards, la seule solution est le rétablissement de la peine de mort, qui a été justement préconisé, conformément à un point de vue rationnel, par le Front National. Malheureusement, le Front National étant, après tout, un parti aux vues bourgeoises, il ne milite pas pour la réouverture du bagne de Cayenne. Et c’est bien dommage, tant il est vrai que la prison est une usine à récidivistes, une usine tout confort. Les millions de délinquants qui pullulent dans les prisons devraient être placés dans un bagne, où, là, au lieu de continuer à vivre aux crochets de la communauté nationale, ils pourraient, au grand air, rendre service à cette communauté nationale dont ils ont bafoué les règles. Par exemple, ils pourraient, à Cayenne ou ailleurs, tricoter des chaussettes, chaussettes qui permettraient rapidement à la France de réduire considérablement ses importations de chaussettes des pays asiatiques.
Certes, 70 pour cent au moins des délinquants qui vivent aux crochets de l’État dans des prisons tout confort sont d’origine extra-européenne. Et alors ? Ils pourraient très bien, à Cayenne ou ailleurs, en plus de tricoter des chaussettes, imprimer de nouvelles éditions du Coran ou du Talmud - qui seraient exportées vers les pays demandeurs - et/ou dessiner des plans de mosquées ou de synagogues - qui seraient également vendus aux pays demandeurs - etc - au grand bénéfice de l’État français.
A moins, bien sûr, que, la peine de mort rétablie, le nombre des récidivistes ne diminue de façon vertigineuse et que, dès lors, il soit inutile de ré-ouvrir Cayenne.
La peine de mort est le meilleur moyen de prévenir, au lieu de guérir et de dépenser des sommes astronomiques pour guérir ce qui n’est pas guérissable. Les « psy » en tout genre seront naturellement en désaccord avec ce constat : naturellement, puisque les « psy » en tout genre - et d’autres - gagnent leur vie en essayant de nous expliquer qu’un chauffard criminel est, au fond, innocent, au nom de la morale.
La réalité est que, chez tout « psy » ou chez tout individu qui est opposé au rétablissement de la peine de mort, sommeille un criminel.