Sarkozy est persuadé que la seule valeur qui vaille est le fric et que tout s’achète.
Tout naturellement, sûr que tout le monde est comme lui, il veut s’offrir les voix des « ouvriers » comme il s’offre le soutien des puissants.
Aux premiers quelques centaines d’euros, aux seconds quelques milliards.
De toute façon, cela ne sort pas de sa poche.
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