Actuellement, il me semble que la peur est avant tout inhérente à la situation générale de la planète.
Certes, le caractère impulsif, libéral et pro-riches de la politique du gouvernement Sarko en rajoute une couche.
Mais la confrontation des disparités énormes des niveaux de vie dans la compétition mondialisée, la terrible main-mise de certaines multinationales sur des décisions engageant jusqu’à la survie à court-terme de nos écosystèmes et de notre espèce, font qu’on ne peut qu’être pessimistes sans une révolution structurelle mondiale.
D’où une angoisse de fonds incontournable.
Objectivement, il me semble que seul une révolution remplaçant enfin concrètement l’esprit de concurrence individualiste et national par la passion du bien collectif et de la fraternité peut nous empêcher de nous détruire.
Le problème est que cette transformation concerne un changement impliquant les individus ET les sociétés.
Si les individus parvenaient à opter significativement pour ces valeurs, des outils comme internet et Avaaz.org sont là pour permettre de les IMPOSER à nos dirigeants.
Donc, de mon point de vue, le problème est d’ordre spirituel : comment faire que les individus optent pour les valeurs non matérialistes, humaines garantissant une préférence déterminée pour ce qui favorise la vie au détriment de ce qui peut apparaître comme notre intérêt à court terme ?
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