@homme libre
"pour la société et les tribunaux l’homme est forcément le criminel et la femme la victime. Donc les hommes sont jugés selon un biais initial. Et puisque vous parliez de son vécu personnel, celui-ci est le mien : une fausse accusation suite à un litige financier qu’une ex-compagne a perdu, fausse accusation soutenue par un groupe féministe (confirmé par l’oncle de l’accusatrice) qui voulait faire un exemple. Bref, 7 ans de ma vie ravagés et piétinés, un viol moral en bande de 7 ans, pour au final un procès de 3 jours avec une foule de témoins et un acquittement obtenu en moins de 30 minutes ! Et même pas d’appel derrière tant le dossier était vide. Mais la conséquence est : ma vie personnelle et professionnelle bousillées (je suis indépendant, vous pouvez imaginer), et je ne suis pas encore sûr de m’en sortir. Ma dead line est l’automne.«
Il n’a jamais été question d’affirmer que le drame de la violence ne concerne que les femmes. Et le délit de violence psychologique nouvellement intégré dans le Code Pénal est naturellement une infraction »asexuée".
Nombreux sont les hommes qui sont victimes de violences psychologiques, et rares sont les hommes qui en parlent.
Il n’en demeure pas moins que la violence conjugale concerne majoritairement les femmes. Il s’agit d’une donnée incontestable.
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