Une anecdote me revient en mémoire :
Il y a bien quarante ans, dans une petite ville de province, la Cathédrale fut profanée :
cierges brisés, fleurs éparpillées, excréments humains déposés sur l’autel.
Les coupables furent identifiés et condamnés.
Aujourd’hui, je m’interroge. Les auteurs de ces faits n’avaient-ils pas réalisé une oeuvre d’art, menant à bien une « performance », un « happening », que sais-je encore ? La Justice n’a t-elle pas vilipendé à tort de jeunes artistes prometteurs, brisant dans l’oeuf leur créativité , et causant ainsi des dommages irréparables à l « art contemporain » en le privant de géniaux représentant ?
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