Bonjour à tous
merci pour les commentaires
- histoire : oui, il est nécessaire de se rappeler les origines du 1er mai et des luttes ouvrières, mais il me semble tout autant nécessaire de s’interroger sur ce que l’on fête désormais le 1er mai. le travail n’a plus les mêmes finalités qu’au XIX°, ni le même contenu. « On connait tous le compromis des Trente Glorieuses » : en échange de la paix sociale, globalement les classes moyennes ont profité du boum économique. Ce n’est que depuis une trentaine d’années (?) que les inégalités se creusent.
C’est surtout ce jeu de dupes que je dénonce : à force d’être dans le compromis, à force de gérer le système comme certains syndicats le font aujourd’hui (ce sont des partenaires et non plus des adversaires sociaux) le système capitaliste reste en place.
- me revendiquant comme objecteur de croissance, je souhaite que le travail ne soit plus mis au centre du système
- Partager le travail me semble une évidence : l’idée n’est évidemment pas de faire travailler quelques personnes, et avec les richesses produites de donner un revenu aux autres.
Créons des richesses et partageons les !
- la fête permanente OUI. Il faut produire ce qu’on a besoin et uniquement ça. Et c’est à nous de décider de ce dont on a besoin, c’est nous qui devons réfléchir à nos usages
- Sur le financement de ce revenu, j’ai lu le livre de B. Mylondo (éd. Utopia) où il explique comment on peut le financer. C’est parfaitement faisable.
Pour terminer sur le revenu inconditionnel garanti, il faut vraiment l’envisager comme un outil de transformation de la société
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