Pour qu’il y ait échec il faudrait qu’il y ait eu action !
Les « anti-carbone » comme le désigne l’auteur, n’ont jamais eu le pouvoir. Les mesurettes présentées ne correspondent qu’à des contre-propositions acceptés par les « élites », lorsqu’elles ne sont carrément pas des récupérations au profit d’une politique conventionnelle de croissance !
Cet article est nocif et l’auteur ne s’en rend même pas compte. Accréditer l’idée que des efforts sont fait pour sauver l’humanité c’est aussi sous-entendre de grandes difficultés, ce qui n’est pas vrai, rien de sérieux n’ayant été tenté !
Par ailleurs il y a erreur sur les responsabilités. Les « pauvres gens » n’en peuvent mais, d’autant qu’il n’y a plus de démocratie et qu’il n’y en aura pas sans un bouleversement radical des institutions, notamment européennes.