Salut !
Vous qui êtes « journaliste et réalisateur », n’auriez-vous pas une petite femme de chambre (ou vendeuse de supermarché, ou femme de ménage) dans votre voisinage qui pourrait vous parler de la façon dont on la traite dans son travail et dans la vie ?
Les petits et grands chefs qui commandent à hue et à dia, les fins de mois difficile, les loyers impayés. La nécessité d’être toujours féminine malgré tout...
Ces femmes de l’ombre, regardent ou lisent dans les médias qu’elles n’existent pas, qu’elles sont quantité négligeable, qu’elles sont juste des « bonniches » et qu’on s’en fout de leurs états d’âme...
Je suis sûre que ce serait bien plus intéressant que la vie de Madame DSK qui n’a jamais manqué de rien, ni de succès, ni d’argent, et qui est désormais dans un beau pétrin.
Remarquez, ces femmes de l’ombre ont de la chance finalement, car comme dit la sagesse populaire « plus le singe monte haut, plus on lui voit le derrière », ou « pour vivre heureux, vivons caché ». C’aurait dû être la devise des DSK, époux et épouse. Ils n’en seraient pas là...
Au fait, Monsieur le réalisateur, cela ferait un beau film, la déchéance d’un couple bling bling, qui a vécu sur un tas d’argent sans empathie particulière pour son semblable. Il y en a plusieurs en ce moment en France, pas seulement les DSK époux et épouse... Non ?
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