La compassion pour toutes les victimes de viol, de par le monde, qu’elles soient féminines ou masculines d’ailleurs n’empêche nullement un minimum de clairvoyance. Or les faits sont un peu têtus et leur récit un peu trouble.
Voilà une femme de chambre qui entre dans la suite d’un hôtel de luxe où séjourne un pékin aussi moyen que le directeur du FMI. Elle le découvre en tenue d’Adam... Elle ne sort pas en s’excusant comme le ferait l’employée lambda. Mais attend que le satyre supposé se dirige vers la porte et la ferme. Puis se jette sur elle se livrant à des attouchements, tentant d’avoir avec elle un rapport anal... (ce qui n’est pas repris dans le récit détaillé des faits du rapport de police : cf : http://asset.rue89.com/files/plainte_dsk.pdf). Ensuite, le criminel l’entraine vers la salle de bain et par deux fois se fait prodiguer un rapport sexuel oral... (Une forme de viol peu courante surtout sans arme, ce pour des raisons anatomiques évidentes). Puis fait ses valises, s’habille je rappelle qu’il est sensé être nu au début du film et se rend bagages en main au check out, détendu et le sourire aux lèvres (dixit une française présente en même temps que lui au guichet) . Il est 12 h 28 d’après le terminal de la carte bleue.
Tout celà en moins de 28 minutes douche comprise ? Athlète ou précoce ?
Puis DSK, comme si de rien n’était déjeune avec sa fille et joint son hôtel pour récupérer un portable oublié communiquant le lieu géographique où il se trouve.
La victime, quant-à elle est un peu floue, Ghanéenne ou Sud-Américaine, voire Sénégalaise ? Une seule chose avérée, elle a 32 ans mère célibataire et employée modèle. Cendrillon,... Aussi.
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