Je-ne-sais-pas-vous-mais-moi, je n’irais pas risquer l’intégrité de la plus précieuse de mes extrémités entre les dents d’une inconnue africaine furieuse.
Déjà avec certaines, consentantes, çà laisse des copeaux... je vous dis pas sans consentement...
Un coup de dent
d’une femme furax a vite fait de cueillir le gland sur la
branche...
Et là, finies les galipettes.
J’attends de voir la vidéo du couloir : si la CIA est dans le coup (et c’est mon intime conviction), gageons que l’actrice sera hurlante de vérité : il faut bien justifier ses émoluments, et un premier rôle, ça se mérite.
Les griffes, on peut les faire sur un homme nu qui ne demande rien à personne quand il est à poil et qu’on est entré sans frapper. On peut même attraper ses mains dans un geste tendre et se griffer soi-même, avec un peu d’entrainement. Et de l’ADN, gageons que la CIA en a plein ses tiroirs, récupéré sur des call-girls, avec plein de photos, sur tout ce qui bouge en politique.
Voila peut-être ce que DSK entendait par « problème grave » au téléphone, lui qui s’attendait à un coup tordu de ce genre et s’en exprimait ainsi dans Libé il y a 15 Jours.
Arrêtons de hurler avec les loups et de prendre les gens pour des imbéciles.
En attendant, et puisque, non jugé, il est toujours innocent, faut-il le rappeler, il n’y a qu’une victime prouvée, c’est DSK, qui a lui, de façon certaine, tout perdu. La partie adverse a par contre, et dans tous les cas de figure, un bel avenir médiatique devant elle, en plus de la prime de la CIA, s’il y a complot bien sûr.
Mais s’il y a viol, eh bien qu’il crève. Wait and see. Surtout wait.