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Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 19 mai 2011 14:47

1 – « le processus de substitution de peuples que l’on observe actuellement en Europe ».

En effet, les rapports de l’ONU parlent de « migrations de remplacement » : les instances de l’ONU incitent les dirigeants européens à intensifier ce processus de remplacement des populations européennes autochtones. On peut par exemple le constater en lisant ce communiqué de presse : « Nouveau rapport sur les migrations de remplacement publié par la Division de la population des Nations Unies ».

2 – « À ces flux migratoires qu’encourage une relative facilité d’acquisition de la nationalité française par mariage notamment, s’ajoute l’apport massif de la natalité qui, observe l’auteur, est un sujet tabou. »

En effet, d’abord concernant « la facilité d’acquisition de la nationalité française » il y a une confusion volontaire introduite en France par les statistiques. Par exemple on nous sert périodiquement une tromperie déduite des résultats du comptage du nombre d’étranger, la tromperie peut être résumée ainsi : « la part de étrangers en France est stable depuis des décennies … donc vous voyez bien qu’il n’y a pas de problème d’invasion extra-européenne … ».

La vérité est que les statistiques françaises s’appuient sur des critères peu significatifs pour en tirer des conclusions erronées.

La question est de savoir combien, parmi les Français, il y a de personnes issues d’immigration extra-européenne.

La loi octroie aux étrangers, venus habiter en France, la nationalité française après 5 années de séjour légal. Un enfant né en France de parents étrangers, et qui a eu sa résidence habituelle en France pendant au moins 5 ans, acquiert automatiquement la nationalité française à 18 ans. Les juristes appellent ce principe par le terme latin « jus soli » qui signifie droit du sol.

On constate que la définition des statisticiens n’est jamais basée sur les racines ancestrales. D’une façon ou de l’autre, d’après les statisticiens officiels, si par exemple les ancêtres sont des Africains, au plus tard à partir de la deuxième génération présente sur le sol français on n’est pas comptabilisé comme appartenant à un groupe immigré. La population des Français Européens d’origine peut donc ainsi être entièrement remplacée au fil de quelques générations par une populations d’Africains (Noirs ou nord-africains), qui sont majoritairement musulmans, mais curieusement les statisticiens officiels ne percevront aucun changement dans la structure de la population. Voilà pourquoi les statistiques sur le nombre d’immigrés en France indiquent que ce nombre est fable et stable depuis des décennies.

À votre avis, quand un couple d’Africains vient s’établir en France, combien a-t-il d’enfants en moyenne dix ans plus tard ?

Donc voici ensuite les faits concernant « l’apport massif de la natalité ».

Le professeur Gérard-François Dumont, directeur de la revue Population et Avenir, dans son numéro de janvier 2007, confirme que la fécondité des femmes vivant en France dépend de l’appartenance au groupe « visible » (il serait « politiquement correct » de parler de « minorités visibles » mais ce terme n’est pas justifié car ces groupes sont en voie de ne plus être minoritaires).

La fécondité des femmes originaires du Maghreb, qui avait chuté dans les années 1980, en partie parce qu’elles souhaitaient vivre « à l’occidentale », s’est stabilisé dans les années 1990, autour de 3,25 enfants par femme. Ceci traduit notamment la reprise en main des communautés immigrées ou d’origine non-européenne par l’islam qui incite à avoir une descendance nombreuse.

Le taux de natalité de 2 enfants par femme ne serait atteint en France que grâce à la fécondité des femmes d’origine maghrébine (3,25 enfants), d’origine noire africaine (4,07), d’origine turque (3,35) et d’origine asiatique (2,83). Selon le démographe, 50 % de l’accroissement la fécondité ces dernières années serait dû à l’immigration. Et il précise : « Cela fait vingt-cinq ans que l’on ment sur les flux migratoires ».

La récente décision du Conseil de constitutionnel interdisant des statistiques sur les groupes « visibles », c’est-à-dire sur les groupes ethniques ou raciaux, va dans le même sens : il ne faut pas mettre en lumière ce que chaque citoyen français est pourtant capable de constater en observant l’évolution « visible » de la population, il faut bercer les citoyens dans le flou et dans le mensonge délibéré en culpabilisant ceux qui oseraient dire la vérité.

Mais dans d’autres pays européens, la presse ose aborder le problème sans mensonges.

Par exemple on peut lire dans le numéro de mai 2006 du journal allemand Der Spiegel que « La population allemande rétrécit comme peau de chagrin … et ce sont les enfants d’immigrés qui comblent ce manque de natalité… d’où les craintes en Allemagne de voir les allemands devenir une minorité »…

« Les problèmes d’intégrations sont d’autant plus urgent à résoudre, continue Der Spiegel, qu’avec 1,3 enfants par femme, le renouvellement des générations n’est plus assuré dans notre pays… d’où les mesures du gouvernement qui a décidé de payer les allemandes pour qu’elle fassent des enfants, via une aide financière à destination des mères au foyer… les dernières statistiques prouvent que le taux de natalité en 2005 est le plus bas depuis la deuxième guerre mondiale… 690 mille nouveaux nés dont un quart dans des familles immigrées… rapportés au taux de mortalité la conclusion s’impose, écrit le journaliste allemand : les Allemands ne sont pas seulement en train de mourir, il sont en train d’être lentement remplacés par des non allemands… alors que faire s’interroge le journal ? S’adapter… d’autant que la tendance est générale dans les pays occidentaux… éviter la radicalisation des communautés, ce qui veut dire s’interroger sur l’identité et les valeurs allemandes et dans quelle mesure celles ci doivent évoluer ?

Et Der Spiegel conclut sous forme d’interrogation « faudrait il nous aussi instaurer un hymne national en Turc ?… »

Mais revenons en France : si vous le pouvez, consultez le numéro de janvier 2007 de la revue Population et Avenir, qui paraît cinq fois par an, ce numéro de janvier 2007 est peut-être disponible dans certaines bibliothèques municipales ou universitaires. Vous avez aussi la possibilité de commander le numéro sur ce site de la revue Population et Avenir  : population-démographie.

3 – « accuse sans détour d’« entraver la démocratie » par leur parti-pris immigrationniste et multicuturaliste ».

En effet il y a ce parti-pris qui impose une censure : ceux qui exposent des idées opposées au mondialisme sont qualifiés d’« extrémistes »…. La liberté d’expression est réduite par la stigmatisation d’« extrémisme ».

4 – On peut remarquer qu’en réalité le sujet du livre de Malika Sorel-Sutter peut aussi être replacé dans un cadre global des changements démographiques au niveau planétaire.

Mais, en France, il faut éviter les sujets qui risquent d’éveiller la prise de conscience des Européens autochtones concernant leur remplacement qui est en cours.

Cela explique, à mon avis, pourquoi certains articles qui exposent certaines vérités ne sont pas publiés par AgoraVox.

Par exemple, si vous avez publié quelques articles sur AgoraVox alors vous avez le statut de « rédacteur » d’AgoraVox et alors vous avez accès aux articles qui sont en attente de validation.

Dans ce cas vous pouvez constater dans la rubrique « Actualités / Société » que l’article qui depuis le 11 mai est bloqué à la validation par la rédaction d’AgoraVox a pour titre « L’avenir des races humaines ».


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