Soyons lucides... Le cabinet Boorlo et la Ville de Paris n’ont accédé aux revendications de Jean-Paul que parce qu’il commençait à être médiatisé. S’il avait continué sa grève de la faim, il ne lui restait que quelques jours à vivre... Il faudrait que nous relisions la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948... En réalité il n’a obtenu que ce à quoi il avait droit mais il lui a fallu mettre en péril sa vie pour se faire entendre ; sans cela, il n’y avait pas d’espoir... C’est cela qui est dramatique : qu’il faille vouloir mourir pour pouvoir vivre...
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