Il y a quelques éléments constants dans ces (risques d’) agressions dont l’auteur va prétendre qu’elles étaient consenties (double peine pour la/le plaignant(e)) :
conscient ou inconscient, l’auteur(e) va prétendre que c’est sa victime qui a initié ce comportement.
par deux fois j’ai échappé à ce genre de stratagème (qui m’a valu la mention de « catho ») qui consiste à s’entendre dire « j’ai bien vu que tu avais envie » !!! et quand ça va plus loin : « c’est bien toi qui... »
ce qui coince la victime potentielle qui se croit investie d’un pouvoir qu’elle n’a pas (qu’elle peut considérer comme « flatteur » ou - dans des cas plus troubles - que ça peut lui amener des faveurs) et peine à exprimer qu’elle ne souhaite en aucun cas engager ce type de relation.
Voilà ce qui aiderait : la remise d’un petit manuel en particulier dans les entreprises sur les subterfuges employés. Car après, c’est la victime qui va devoir s’expliquer !
Je réfléchissais à tout ça en particulier et à la prédation animale en général, aux mâles dominants, à l’attirance pour le mâle dominant etc et la frontière est floue.
Ils diront toujours que c’est la victime qui les a agressé (en passant par là....), provoqué et que ce sont eux qui sont tombés dans le panneau...Et la preuve sera toujours difficile à établir.
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