Il n’y aura sûrement jamais de procès. Les deux parties ont l’ opportunité jusqu’ à la veille du procès de passer un accord.
Sur 200 affaires, une seule finie devant un jury.
Les deux avocats et la floppée de détectives privés payés par le présumé-coupable feront tout pour sortir la moindre chose concernant la femme de chambre ; on saura combien elle a eu de petits amis, où elle les rencontrait, si son enfant est élevé correctement dans cet immeuble dont certains appartements sont loués par une association de défense du sida, puisque la maman travaillait son enfant devait sûrement resté seul ou alors confié à des « frères »
ILs chercheront tout pour la dénigrer. Même innocente, elle sera coupable.
Les femmes sont des violentes et leurs enfants mâles, des victimes qui deviendront à coup sûr de potentiels déviants à cause de leurs prédatrices de mères.
Les défenseurs actifs de DSK devraient fouiller dans la vie de cet adulte malade et retrouver sa mère, possible que les réponses à ses problèmes se trouveront établis