@ Cevennevive :
Je vous reçois bien. Ok, vous avez une même lecture de l’image de cette femme du magazine.
Et nous sommes bien d’accord : mains baladeuses, etc, non merci. J’ai aussi été harcelé par des femmes. Une fois une qui ne connaissait ni mon nom ni mon adresse, vendeuse de fleurs avec qui j’avais sympathisé à son magasin, sans plus, m’avait suivie. Elle est venu sonner à ma porte un soir, alors que j’étais avec ma compagne et des amis. J’ai très mal ressenti cela. Donc nous sommes aussi en phase sur ce point.
J’écris ce billet parce que entre cette sociologue qui évacue tout érotisme du corps, comme si elle se censurait à l’idée du sexe et du désir, et cette femme qui parle de viol pour un dessin à prendre vraiment au second degré, enfin cela plus l’image de l’homme-prédateur (si les femmes sont toutes des femmes de chambre, selon un slogan de la manif, les hommes sont donc tous des agresseurs), la misandrie fait son lit.
Je ne l’accepte pas. Pourquoi donc les féministe active ne dénoncent pas avec la même vigueur la misandrie comme la misogynie ? On commencerait alors à croire à un humanisme. Là c’est un communautarisme, qui se nourrit du cliché proie-prédateur.
Bien à vous.
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