Bonjour,
Posez vous donc la question pourquoi en pleine campagne du G20, vous faites ici votre G2, essayant ainsi de fixer avec vos commentateurs zétrices, les statuts du meilleur compromis...vous n’avez pas fini de vous justifier par écrit pour trouver la meilleure formule à vos yeux, sachant que vous devez vous ouvrir sur un site de rencontre au cœur qui cautionnera ce type de contrat, puis viendra le temps de la rencontre et l’échange oral stipulant l’accord et scellé par la pratique du lit. Mais méfiez vous quand même de l’amante religieuse.
j’ai trouvé ce bout explicite sur le premier lien « On ne se dit pas je t’aime, ou tu comptes pour moi. » je trouve qu’il résume toute la problématique à lui seul. C’est Brel qui en parle le mieux,« chez ces gens là monsieur, on ne compte pas, on aime » http://www.frmusique.ru/texts/b/brel_jacques/cesgensla.htm d’ailleurs aujourd’hui on peut entendre « je te calcule » ou « tu m’intéresses », ce qui est un langage purement boursier ou banquier. C’est l’époque qui le veut !
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