"Je ne partage pas du tout Scipion vore comparaison de l’affaire Dreyfuss avec celle du probleme des etranger d’aujourd’hui.
Ma comparaison avec l’affaire Dreyfuss, M. Gouzevitch, ne porte que sur la profondeur du fossé qui est en train de se creuser entre Français, et en pensant aux deux dessins d’« Un déjeûner en famille* » de Caran d’Ache.
« Il n’est pas de debat a mon avis a pars pour les Frontistes du pour ou contre les etrangers. »
Ce débat est le seul vrai. Dans certaines régions, le taux sociologique de 10 % a été depuis longtemps pulvérisé et la volonté politique d’augmenter la visibilité - quel sabir ! - des minorités ne fera qu’accroître le malaise des de souche.
Pour le Français qui vit mal une trop forte présence étrangère, réelle ou supposée, la question ne se pose pas en termes de bonne ou de mauvaise immigration...
En outre, vous remarquerez qu’ici, sur Agoravox, dès qu’il est question d’immigrés, les passions se déchaînent avec une virulence qu’on ne trouve pas dans d’autres débats... Et j’y vois une confirmation de mon parallèle avec l’affaire Dreyfuss.
« L’immigration 0 c’est absurde et mauvais pour la France. »
Peut-être, mais elle est, en même temps, stupide et dangereuse pour la France et l’Europe.
Stupide parce qu’elle ne résout aucun problème, elle ne fait que les repousser devant nous, en ouvrant la porte à un "toujours plus d’immigrés, intenable.
Dangereuse parce qu’avec le temps, le sentiment d’invasion ne fera que se renforcer et que l’accroissement de la pression démographique sur l’environnement devra obligatoirement être contenu., au besoin contre l’immigrationnisme... écologiste ! Ces clowns tragiques ne sont pas à une bouffonerie près !
« Ceci est quand meme edifiant que meme a gauche ils sont la majorite absolue a soutenir ce plan !!! »
Parce qu’ils s’imaginent naïvement que l’amélioration qualitative va ipso facto se traduire par une diminution quantitative. C’est une illusion entretenue par la staff du candidat Sarkozy. Tout est à craindre des regroupements familiaux et rien n’indique que Sarkozy osera heurter l’humanisme larmoyant et baveux de la gauche, en matière de renvoi des illégaux.
C’est pour cela que je considère que la présidentielle de 2007 n’est qu’une élection intermédiaire, dont l’impact se mesurera à l’aune de l’élection de 2012.
Si tant est qu’elle puisse se dérouler dans des conditions normales, c’est-à-dire sans que des événements majeurs violents ne se soient produits dans l’intervalle (assassinat du président de la République, attentats islamiques, soulèvements armés dans les banlieues...)
L’effondrement subit du communisme en Europe, le 11 septembre, le 11 mars, les émeutes novembre 2005, montrent que nous vivons à l’époque de tous les possibles. Ce n’est pas son moindre intérêt.
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