Le nœud de la question, c’est donc la problématique des contre-pouvoirs.
L’existence de deux institutions chargées de la force publique, avec
des statuts et des traditions différentes, c’était une garantie pour les
libertés.
J’ai très envie de vous croire, mais j’aimerais que vous développiez ce point. Parce que pour l’heure même s’il y a deux corps de force publique en France, je n’ai pas pour autant le choix. A côté de chez moi il y a une police et une gendarmerie à quelques mètres d’intervalle ; sauf que quand il m’arrive quelque chose c’est forcément la police qui est compétente (je suis en ville) alors que la gendarmerie, on se demande pourquoi elle n’est pas déplacée dans la banlieue pour se rapprocher de sa zone de compétence.
La distinction entre deux corps de force publique se justifierait si le choix était fait par l’usager (en fonction de ses affinités) ou en fonction de la nature des faits à discuter (comme pour la distinction police nationale/municipale). Si elle est purement géographique, je ne vois pas l’intérêt.
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