@Bulgroz
le problème n’est pas ,quoique, la variabilité, de l’éolien, mais plus spécifiquement, son imprédictibilité .
Les gestionnaires de réseau établissent leur plan la veille ;généralement vers 16 heures,pour le lendemain.
L’éolien, comme le solaire dans une moindre mesure, étant imprévisibles, ils ne sont donc pas inclus dans ces schémas,on parle d’énergies fatales.
Quand un champ éolien vient sur le réseau,obligation d’achat oblige, il se substitue à une autre usine.C’est rarement de l’hydraulique.Pour les centrales à flamme, cela ne fait pas varier leur consommation.Pour le nucléaire, cela n’a pas de sens , vu le prix du combustible dans le coût final.
C’est d’ailleurs une des raisons qui fait que les danois comme les allemands restent les plus gros émetteurs de CO2 par kw, c-à-d, pour ceux qui se foutent du CO2,les plus gros consommateurs d’énergie fossile.
Pour tout cela, Mr. Pellen a donné des explications très complètes et bien étayées,ainsi que sur la fragilisation de l’équilibre des réseaux au fures et à mesure de la montée en puissance de l’"éolien notamment
Tiens, les allemands réagissent vite,ils en ont encore 2 approuvées de plus, de bonnes centrales à charbon :
pas à dire, cela bouge outre Rhin