On voit arriver à la rescousse de la baudruche infatuée et malhonnête Ferry et de sa rumeur sans aucun fait avéré (effectivement totalement démontée par le Canard), tous les petits colporteurs ; les mêmes qui, en 40, envoyaient à la police collabo, les lettres de délation pour leurs voisins ; juifs, homosexuels, communistes, pédophiles, dans le seul but de pouvoir profiter de la protection ^policière, et de se venger ou de récupérer quelques biens...
Les calmos, watremez, valmour ; les collabos délateurs ; la catégorie la plus abjecte d’individus, dont la France s’est toujours fait une spécialité.
Ils nagent dans la rumeur comme des poissons dans l’eau ; elle leur permet de compenser un peu leurs frustrations d’une vie d’aigri, de projeter sur d’autres leurs désirs refoulés, leurs petites jalousies mesquines, de masquer un moment le vide de leur existence...
Luc Ferry ; un ego boursouflé de fatuité et de suffisance, qui estime tout à fait normal d’être payé avec l’argent des contribuables pour ne pas travailler, un salonnard qui balance, sur les plateaux de télé, comme dans les soirées feutrées des parties fines, une rumeur par rapport à laquelle il n’a AUCUNE information, et qui feint de s’offusquer quand il est pris la main dans le sac de ses propres truandages !
Quand on pense que ce triste bouffon a été ministre, on se rend compte de l’état de déliquescence dans lequel la sarkozye a plongé le pays...
J’espère que ce mec va être attaqué en justice, parce que : s’il avait des informations réelles, certifiées, dont il n’a pâs parlé à la police ni à la justice, il est coupable de complicité passive, et de non-assistance à mineurs en danger
s’il ne fait que colporter une rumeur, sans avoir aucune information réelle, il doit être condamné pour diffamation, diffusion de fausses informations, calomnie.
Quand aux petits colporteurs du site, ils pourraient également tomber sous le coup de la loi ; ce qui pourrait les amener à tourner 7 fois leur langue dans leur bouche, avant de fermer leur gueule, s’ils ne disposent d’aucune information réelle.
C’est ce genre de personnages qui dévoient et décrédibilisent le net, en en faisant un lieu de rumeurs, de calomnies, de désinformation, de mensonges, d’intox et de propagande.
Vous êtes contre les pédophiles ? Oui ; tout le monde l’est, à part les détraqués...
Eh bien alors, entreprenez un travail d’enquête, dénoncez les VRAIS réseaux pédophiles ; sur le net, en Thaïlande, partout où ils s’exercent.
Mais si vous ramenez votre gueule sans aucune information, sans aucun fait avéré, vous n’êtes que des petits colporteurs de rumeur. des calomniateurs, des délateurs collabos, de faux témoins, des petits êtres indignes.
Comme le bouffon Luc Ferry.
« La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j’ai vu les plus honnêtes gens près d’en être accablés. Croyez qu’il n’y a pas de plate méchanceté, pas d’horreurs, pas de conte absurde, qu’on ne fasse adopter aux oisifs d’une grande ville, en s’y prenant bien ; et nous avons ici des gens d’une adresse !... D’abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l’orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l’oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout à coup, ne sais comment, vous voyez Calomnie se dresser, siffler, s’enfler, grandir à vue d’œil ; elle s’élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ? »
Beaumarchais - Le Barbier de Séville
Laisse dire la calomnie
Qui ment, dément, nie et renie
Et la médisance bien pire
Qui ne donne que pour reprendre
Et n’emprunte que pour revendre...
Ah ! laisse faire, laisse dire !
Faire et dire lâches et sottes,
Faux gens de bien, feintes mascottes,
Langues d’aspic et de vipère ;
Ils font des gestes hypocrites,
Ils clament, forts de leurs mérites,
Un mal de toi qui m’exaspère.
Paul Verlaine