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jamjam 9 juillet 2011 20:34

L’islamophobie ou le fait de ne pas apprécier ce qui est musulman est dans mon cas un phénomène qui change avec le temps et, je pense, avec le nombre de musulmans présents en France. En parler est toujours quelque chose de délicat car beaucoup d’éléments portés contre les musulmans ne concernent en fait qu’un certain nombre d’entre eux.


Aujourd’hui, mon sentiment dominant est que globalement :

  1. les musulmans nous tirent vers le bas, avec les africains plus généralement, au niveau économique, au niveau scolaire, au niveau intellectuel (cf. ces histoires de religion qui nous ramènent des centaines d’années en arrière).

  2. il n’y a jamais eu de société vivant dans la paix avec des musulmans au sein de cette société.


Pour les aspects religieux et, en me limitant aux trois monothéismes actuels :

  1. je peux comprendre les juifs, monolâtres plus que monothéistes bien que réputés devenus monothéistes vers le premier siècle après JC. C’est une religion faite pour des élus à une époque où de nombreux peuples du Moyen-Orient avaient « leur » dieu. Les juifs avaient le leur. Compréhension d’un phénomène historique qui perdure et, à ce sujet, je ne comprends pas que l’on reproche à Dieudonné de dire que « le peuple élu » est le début du racisme. Ca me semble évident, mais passons.

  2. je comprends les chrétiens car le message du Christ me paraît d’une générosité inégalée et le seul à pouvoir apporter la paix. Mais dans ce dieu, je ne reconnais pas le dieu monolâtre des juifs et, comme Marcion, je ne comprends pas que les chrétiens aient endossé l’ancien testament qui fait apparaître un dieu tout à fait différent.

  3. je ne comprends pas ce qu’apporte l’islam. Pas de message d’amour comme chez le Christ, rien. Un prophète qui débute comme gigolo et finit comme pédophile en ayant des relations sexuelles avec une épouse de 9 ans. Pas de paix, mais des guerres permanentes.

Je ne comprends donc pas ce qu’apporte l’islam, mais je constate ses effets  :

  1. des populations généralement misérables y adhèrent de façon fanatique

  2. des populations où les puissants méprisent les pauvres. Je me souviendrai toujours lors d’un premier séjour de travail au Maroc le ton avec lequel un collègue marocain s’adressait à un serveur dans un café ; on aurait pu imaginer cela en France sous la royauté entre un noble et un homme du peuple, mais on ne voit plus cela de nos jours chez nous.

  3. parmi les plus malheureux de ces pays mentionnons les femmes et les exemples afghans ont encore récemment illustré la situation qu’elles vivent, abominable, sans aucun droit ni respect.

  4. une intolérance inouïe qui interdit même de changer de religion.

  5. une incapacité à prendre en compte toute l’histoire en ne se concentrant que sur une partie de la leur. Par exemple les croisades : ce sont les musulmans qui ont initialement conquis les lieux saints, et pas l’inverse. Ce sont pour partie des maghrébins (les barbaresques) qui ont ravagé les côtes d’Europe pendant des siècles et ce, quasiment, jusqu’à la conquête française.

  6. une incapacité à construire des états qui perdurent : la plupart des pays musulmans sont des constructions européennes ; le Maroc a été stabilisé par la France, ce sont même des marocains croisés dans un train qui me l’ont dit. Auparavant c’était un ensemble de fiefs que personne ne maîtrisait globalement. L’Algérie n’a jamais existé auparavant dans les frontières que la France lui a laissées.

  7. globalement un double langage permanent lié à toutes les contradictions que comporte leur religion.

Chez eux, dans leurs pays, ils n’acceptent rien, il ne peut y avoir de prosélytisme chrétien ; en Arabie Saoudite il ne peut y avoir d’église car cette Arabie est une grande mosquée. Chez nous il faudrait tout accepter :

  1. passons sur certaines habitudes vestimentaires bien connues, amusantes jadis, de plus en plus insupportables aujourd’hui.

  2. coutumes qui viennent du fond des âges et n’ont aucune justification dans nos contrées, comme les interdictions sur le porc.

Ils ne comprennent pas comment nous vivons, surtout les africains noirs :

  1. ils font beaucoup d’enfants qu’ils ne peuvent pas élever financièrement (là aussi je ne comprends pas que l’on ait à ce sujet stigmatisé Pascal Sevran) : ils pèsent sur nos systèmes d’accueil, ils créent un besoin d’émigration dans leurs pays.

  2. ils ne comprennent pas que chez nous c’est aux parents à éduquer les enfants et non à la rue (à la tour, à la cité) comme chez eux en Afrique.

  3. notre système de condamnation judiciaire, suffisant pour nous, les fait rigoler et ils n’en ont aucune crainte.

  4. ils ont facilement un esprit vindicatif  : contre une amende par exemple ils vont se révolter contre l’administration qui la leur a justement infligée, ils volent facilement, agressent facilement (je peux en parler, toute ma famille a un jour ou l’autre été agressée par un africain, jamais par un asiatique ou un juif par exemple).

Les maghrébins évolués que l’on rencontre, au Maroc, par exemple, ne comprennent pas que nous acceptions tout cela de leurs compatriotes émigrés (qu’en général ils supportent mal d’ailleurs). Ce qui montre que chez nous ils sont encore moins tenus que dans leurs pays d’origine.

On pourrait continuer longtemps. En gros et au minimum, il y a une majorité que l’on peut intégrer, mais il y a une bonne partie que l’on devrait renvoyer en Afrique car incapable de s’intégrer à notre société. Comme ils ont tous la double nationalité (cf. les histoires récentes de football) ce ne devrait pas être un problème. Et surtout, limiter les arrivées.

Comme on le voit, le débat est plus africo-musulman que musulman seulement.


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