En réponse à :
Dans votre inventaire des labos militaires, vous avez oublié les Russes.
En 1982 alors que l’URSS signait le traité d’interdiction des armes bactériologiques un type se trompait de sens en remontant un filtre sur un labo de « Gorod 19 » près de Sverdlovsk (Ekaterinburg maintenant), conséquence : une quarantaine de morts dans la briquetterie d’en face, l’anthrax..
Mais il n’est pas nécessaire d’avoir un labo pour faire des toxines mortelles, une boite de conserve avariée de porc et vous avez de quoi intoxiquer mortellement bon nombre de personnes avec de la toxine botulique. Le botox si cher à ces dames pour paralyser certains muscles de la face et éliminer passagèrement les rides rebelles.
Comme il a déjà été dit plus haut, l’aflatoxine B, venant de l’ergot du seigle est très efficace également. C’était le « mal des ardents ».
Tout cela est bien plus efficace que des escheria coli mutés ou que du plutonium qui lui ne s’assimile pas à l’ingestion.
Enfin l’usine « Gorod-19 » s’est reconvertie et fabrique maintenant des antibiotiques. mais peut-être avaient-ils encore quelques vieux stocks à céder.
Le gaz sarin du métro de Tokyo venait bien de Russie lui aussi.
Vraiment je ne comprends pas pourquoi vous avez passé sous silence l’acquit du passé soviétique qui passait aussi par le fameux « parapluie bulgare » !
Seriez vous une taupe en manipulation à la solde de la maffia russe ? Il parait qu’ils paient bien.
@+
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