Et puis, soudain, les couleurs éclatent enfin. Jaillissent, je dirais, pour quitter définitivement la grisaille des rêves et marteler des enchevêtrements originaux de couleurs la joie de la nature.
et si je peux permettre d’ajouter,
jamais je n’avais ressentis cette « plus value » de l’exposition en me retrouvant face aux oeuvres,
aucune reproduction couleur des œuvres de Redon n’est à la hauteur de la flamboyance de ce qui peut être admirée au grand palais.
c’est une des meilleurs expo que j’ai faite et je n’ai pourtant pas été du tout touché par la première partie.
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