En réponse à :
Que de pruderie devant un clitoris, quelle régression humaine depuis l’antiquité. Il n’y a là qu’ne représentation stylisée d’une banalité. L’amour physique est bien sûr le plaisir, une chose qui serait interdite à la femme ?
Il se peut que pas mal de nos concitoyens soient encore sous l’emprise des interdits, des sujets tabous, transmis par les religons monothéistes que personne n’est obligé de suivre, non ?
Les femmes s’en libèrent, les hommes seront ils à la traine pour se libérer de ces stupides interdits ?
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