Le problème du féminisme, revendication légitime s’il en fut, est que ce terme-parapluie recouvre des agendas très éloignés d’un égalitarisme homme-femme dont on aimerait que le monde soit plus prodigue.
En résumé, il est envahi par des cohortes de lesbiennes qui haïssent les hommes et souhaiteraient les éradiquer. Des talibanes, en quelque sorte. Les pires : les adeptes du « gender ». Celles-là sont prêtes à laminer du mâle, à le castrer, à lui proposer la seule voie de sortie honorable : LA transformation - la seule, la vraie, l’ultime, celle qui, dans une salle d’opération, transforme les sales vilains petits canards hommes en oiseaux-Phoenix, en femelles rayonnantes, pures et triomphantes !
Exit les mâles, seules les femmes lesbiennes auront droit à l’existence. Et dire que des hommes se plient à cette aberration et se font effectivement transformer en femmes...
Vous pensez que j’exagère ? Alors, pourquoi est-ce que toute la littérature américaine que j’ai lu à au sujet du « gender » aboutit effectivement à la problématique des opérations de « sex-reassignment » - le transsexualisme chirurgical ?
J’ajoute être une femme féministe, pas une lesbienne frustrée et haineuse. Juste une femme qui aime les hommes et voudrait que chacun respecte l’autre, rien de plus.
A propos, s’il vous plaît, n’oubliez pas de signer la pétition contre la théorie du gender à l’école française. Et faites tourner, s’il vous plaît.
http://ecole-deboussolee.org/?p=1
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