Ce n’est pas le défilé qu’il faut supprimer : c’est l’armée.
Pas une guerre gagnée depuis Napoléon, mais des milliards gaspillés en gadgets mortifères propres à assassiner, irradier ou estropier les hommes, nos frères, et maintenant elle se met au service d’une organisation criminelle, l’OTAN, organisme totalement au service des grands groupes financiers qui nous sucent jusqu’au sang, pour exterminer, asservir et piller les peuples d’Afrique.
Qu’elle en ait conscience ou non, l’armée se réduit à, un groupe de mercenaires vivant au crochets des citoyens, ne les servant nullement, prête à les réprimer quand une juste révolte se lèvera, et ne servant guère (en plus des siens) que les intérêts des plus riches de ce monde en décomposition avancée, la plupart n’étant d’ailleurs pas Français.
Nous n’avons plus ni le besoin ni les moyens d’entretenir cette danseuse obscène, nous ne les avons jamais eus ; il est simplement temps d’en prendre conscience.
Le Costa-Rica, par exemple, s’est débarrassé de ce poids mort, et s’en porte fort bien. Don Pepe, en 1948, après une terrible guerre civile, prit le pouvoir, et deux décisions : la nationalisation des banques et la dissolution de l’Armée, et consacra cette formidable économie à l’éducation et à la santé : que ne faisons-nous la même chose !
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Il est temps de refuser l’impôt, puisqu’on en fait ce dont nous ne voulons pas : la guerre.
Et de renvoyer notre voyou de président auprès de ceux qu’il croit ses amis, et dont il n’est que le larbin, méprisable et méprisé.
Eva, on t’aime : tu es le seul personnage honnête de ce tableau morbide. Mais va jusqu’au bout de ta pensée....Tous ces braillards du gouvernement qui vocifèrent et poussent les hauts cris sur tes propos n’ont rien à foutre de la patrie ni de l’honneur : ils pillent la première et foulent aux pieds le second. Comme Don Pepe, propose la nationalisation des banques, la récupération de tous nos biens privatisés, et la fin de l’armée, et tous les Français te suivront à genoux.
Si tu y survis...