Je partage ce que vous dites de « cet ennuyeux produit à pleurer ou à rire » que des « fans », soumis inconsciemment à la pression du groupe et inaccessibles au moindre argument rationnel, s’obstinent à présenter comme un livre au nom du plaisir qui leur a procuré. On a les plaisirs qu’on peut. « Dis-moi ce que tu lis, et je te dirai qui tu es... » Ici même, sur Agoravox, j’ai présenté ce produit comme un exemple de la « culture de prolétariat culturel » que « le marché libéraliste » développe : le livre est atteint comme l’est la télévision et le cinéma qui deviennent insipides et indigestes comme la « malbouffe ». Cela survient en plus, et c’est le paradoxe, à une époque où les moyens de diffusion sont extraordinaires. Voyez ce que ce marché libéraliste offre à diffuser pour répondre aux plaisirs du grand nombre ! Comme disent certains, on a des « tuyaux » fantastiques, mais on n’a pas grand chose à mettre dedans ! Promenez-vous entre « les gondoles » non de Venise, mais des supermarchés : combien de films proposés ? Combien de films a-t-on envie d’acheter ? « Le prolétariat culturel » est désormais au pouvoir pour longtemps puisque l’audience, génératrice de profits, est le seul critère qui compte et qu’on attend toujours que l’École produise les intelligences critiques qui pourraient changer les choses.Paul Villach.
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