S’agit-il, avec le « fait juif » (B.-H. Lévy) d’un peuple, d’une nation (comme l’écrivait en 1799 le général Napoléon Bonaparte), d’une communauté, d’une secte (Céline), d’une nationalité, d’une religion, d’une race (Hitler, Sartre, Joffrin), d’une culture, d’une ethnie, d’une caste, ou encore d’autre chose ?
« Un peuple saint à Dieu, élu par Dieu [populus sanctus es Domino Deo tuo. Te elegit Dominus Deus tuus] » (Deutéronome, VII, 5). « Si peuple juif il y a, il n’existe pas d’autre peuple du même type que lui », notait Raymond Aron dans ses Mémoires (chapitre XIX). « Une école, un peuple, une religion ou encore autre chose » s’interrogeait Jean-Michel Salanskis dans Extermination, loi, Israël. Éthanalyse du fait juif (Paris : Les Belles Lettres, 2003).
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération