En réponse à :
Evidemment, nous sommes gouvernés par une belle bande de baltringues en façade depuis plus de 5 ans. Jamais l’incompétence n’avait été portée aussi haut dans les arcanes du pouvoir.
Et quand on sait que c’est bébé cadum Barouin qui gère les finances en pleine crise, ça en dit long sur la décrépitude de la charge ministérielle.
Mais, comme je l’avais déjà dit, le bling bling et cet étalage de médiocrité n’est destiné qu’à deux choses :
caporaliser le gouvernenemt, et accessoirement par conséquence le guignoliser ;
Masquer les véritables objectifs de Sarkozy.
Pendant qu’on s’agite sur des mesures plus imbéciles et provocatrices les unes que les autres, dans l’ombre, on agit et on avance.
Le shadow gouvernement n’a jamais autant travaillé.
Encore plus que tout cela, le véritable scandale, mais indolore à court terme pour la populace, c’est le massacre programmé des comptes publiques, rendant toute future alternance caricaturale. Le déficit corrigé de 2010 s’établit à 9,1% du PIB, un vrai carnage, sachant que la Cour des Comptes en impute au moins la moitié aux cadeaux de Sarko à ses copains.
150 milliards d’euro de déficit, c’est 1000 milliards de francs, et ne parlons même pas du déficit de la balance commerciale, qui illustre la transformation de la France en gigantesque parc Asterix.
Voyons le cas grec, et Karamanlis qui laisse à Papandreou le soin de massacrer la classe moyenne après avoir foutu les comptes publiques à plat, avec la complicité des mêmes banques qui vont saigner les grecs comme des porcs, avant de se goinfrer le reste des PIIGS.
Le contexte économique qui va aller s’agravant, le programme du PS n’a pas plus de valeur que la dette grecque, et même pas celui de l’encre et du papier pour l’imprimer. Je ne parle même pas des autres.
Et là, c’est le sens même du sens qu’on donne au mot alternance qui pose problème.
Finissons sur une note optimiste : Zerohedge nous apprend aujourd’hui même que les plus grands risques pèsent aujourd’hui même sur la Société Générale et Unicredit Italia, toutes deux rasées par leurs aventures grecques :
Tout le reste est à l’avenant, les finances européennes sont à feu et à sang.
Si la solution proposée est bien une sorte de fédéralisme oligarchique européen, nous n’aurons plus qu’à licencier l’Assemblée et le Sénat pour cause de chomage technique chronique.
Si la solution proposée est bien une sorte de fédéralisme oligarchique européen, nous n’aurons plus qu’à licencier l’Assemblée et le Sénat pour cause de chomage technique chronique.
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