Je ne suis pas d’accord avec nombre des commentaires, cet article a du mérite : celui de dire en peu de mots et avec peu de langue de bois militante l’enchaînement des conséquences économiques de l’incurie politique.
Non l’économie n’est pas le nec plus ultra de la chose publique (le dernier commentateur l’a dit) ! Mais pas plus « yaka » comme le dit Artus (qui soigne sa pub). L’économie sera à sa place d’OUTIL lorsque les politiciens auront un projet pour la société, qui engendrera une adhésion, donc un « patriotisme » (à la Scandinave peut-être). Aujourd’hui, ils donnent le triste exemple du « chacun pour soi » à droite (voir Clearstream) comme à gauche (combien de prétendant(e)s déjà ?).
Le libéralisme c’est la liberté, il a été inventé en France à l’époque des Lumières. Mais le libéralisme est POLITIQUE, le contraire même du laisser-faire comme du bon plaisir ! Ce que le gauchisme ambiant appelle (ultra ?)« libéralisme » n’est que la loi de la jungle des pétroliers texans appliqués aux faibles. C’est du caramel mou moralisateur, pas de l’ambition « politique » (qui est de convaincre des citoyens d’adhérer à un projet). Le projet reste à bâtir, Messieurs et Dames, loin des archaïsmes écolo-médiévaux ou crypto-archaïques.
Tant que les seuls « arguments » des commentateurs resteront les Grrrands Prrrincipes Morraux du Dogme dixneuviémiste, le laisser-faire et la loi du plus fort ont de beaux jours devant eux !
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