Deux erreurs commises dans l’article (j’ai la flemme de partir à la pêche aux liens en attestant) :
DSK demande d’abord à sa fille Camille de retourner avec son ami au restaurant voir si le téléphone perdu n’y serait pas (des employés du restaurant l’ont même aidée à le chercher sous la table) ; c’est seulement quand il sut qu’il n’y était pas qu’il appella l’hôtel.
Il semble bien que DSK ne soit pas monté dans l’avion, et ait attendu tout ce temps dans le salon d’Air France près de la porte d’embarquement qu’un membre du personnel du Sofitel lui rapporte son téléphone (ce qui ressort aussi du rapport des 2 policiers de l’aéroport venus là l’arrêter) ; l’anecdote de la remarque salace est une invention, colportée, c’est vrai, par plusieurs journaux à l’époque...
Pour le reste, je m’en fous ; je ne commente plus le fond de cette histoire et j’attends de voir la suite, bien qu’elle ne m’importe plus beaucoup, les événements se déroulant en ce moment tout autour de la planète m’interpelant bien plus qu’elle par leur gravité... Tout restant néanmoins envisageable : culpabilité sans complot, culpabilité avec complot, et pas de culpabilité du tout (sinon un peu ... !!)...
Bonne fin de week end ; j’aime bien votre style d’écriture...
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