Bien malin et naïf qui peut résumer honnêtement la vie du plus célèbre des bouddhas, comme celle de Jésus et de Mahomet.
Point n’est besoin de ces guides pour révérer la Suprême Source Bienveillante Eternelle de tout et accomplir vie après vie, sur cette planète ou d’autres, ce qu’Il pouvait nous souhaiter de meilleur : être de plus en plus altruiste, ce qui suppose d’être de plus en plus équanime et sage jusqu’au jour où, lors de notre dernière vie, nous serons, pour Son plus grand plaisir, quasi aussi aimant ou compatissant que la Source dans laquelle nous pourrons donc revenir sans faire tâche.
Ce ne peut être la finalité prêchait par ce bouddha puisqu’il ne s’intéresse pas à qui aurait lancé la flèche de la souffrance ou de l’insatisfaction.
Pour parvenir à cet altruisme équanime et sage point besoin de révélations, de textes sacrés, de dogmes, de clergé ou de savants, de culte, de prière et de guide principal. « Seulement » d’une volonté soutenue de progresser récompensé par le plaisir collatéral éprouvé quand on fait ne serait-ce que sourire.