Je suis soufflé par la façon dont les souffrances physiques et psychologiques du malade, et de son entourage, sont évacuées. Si je comprends bien, vous imposez au malade (ou au mourant) de se satisfaire d’une vie par procuration (à travers celles de ses proches) et vous lui ordonnez de ne plus souffrir. Et l’Amour résoudra tout (j’ignorais que ce fut un médicament). Quant aux gens qui ne pensent pas comme vous, ils sont ni plus ni moins dans la « faute ». Une telle capacité de déconnexion de la réalité me fait plutôt peur, pour ne pas dire franchement peur. Où est la compassion, lorsque la douleur est niée ? Est-ce aimer quelqu’un que de nier ses problèmes et d’aller contre sa volonté ?
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