Le mieux pour présenter Michel Petrucianni est de le laisser le faire lui-même :
Un jour qu’on lui demandait s’il allait souvent aux États-Unis, Petrucciani répondit :
« Je suis souvent allé aux États-Unis et pourtant j’y ai rarement mis les pieds. »
Faisant ainsi allusion au fait que là bas, sa popularité, tant pour son talent musical que pour son optimisme et sa « joie de vivre », était telle que tout le monde le prenait dans ses bras (ce qu’il n’appréciait pas mais à quoi il consentait malgré tout de bonne grâce).
Sans oublier son album « Jean Philippe Herbien » ...
Petrucciani n’était pas petit ; juste un grand homme en très condensé.
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