M. Michel Petrucciani jouait à la perfections, « le jazz ». On vous autorise rarement à écrire « le jazz » quand vous jouez divinement « le jazz ».
Puisque nous ne sommes pas pianistes nous nous épargneront la main gauche des premières secondes musicales de la bande-annonce.
Qu’importe, au fil de ces décennies M. Michel Petrucciani s’est avéré être un « sacré putain de pianiste ».
Et c’est tant mieux comme ça.
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