Bonjour,
Parole (très juste) d’instit de maternelle, petite section :
- « Non ça ne m’inquiète pas, c’est comme ça. Ils viennent de la crèche ou d’un autre mode de garde, après ils iront à la grande école. C’est comme ça.
Oui c’est fatigant, pour eux et pour moi, mais ils savent très bien comment faire, quand ils so nt trop fatigués ils deviennent malades. Comme ça ils se reposent. C’est comme ça et ça ne changera pas parce que personne ne veut que ça change. Les femmes ne retourneront pas à la maison. »
(Observation de ma part en passant : Pourquoi les femmes ? Les pères sont au moins autant responsables de leurs enfants que les mères ).
Et je vous garantis qu’elle était sincère !
Echo d’un parent que je retiens à titre d’exemple (valable) :
- « Il y en a qui pleurent pendant des semaines. Ils finissent par s’y faire ».
Voila, j’en suis sûr, Mesdames/ Messieurs les pédagogues, où est la racine du mal qui ronge les enfants, puis les ados, puis les adultes, adultes comme vous, comme moi comme elle/lui, voila ce qui atteint la santé mentale publique et rends si dure et si longue l’acquisition des savoirs dans ce milieu que l’on ose encore dire « educatif ».
Il faut annoncer une évidence : Les enfants DOIVENT être PROTEGES, AIMES, RESPECTES.
Et ceci DES LA CONCEPTION. Ils ne doivent pas, de ce fait, devenir des DETENUS (enfermés dans des locaux prisons entourés de hautes grilles), même si, parmi les enseignants et autres professionnels, beaucoup sont sensible à la détresse des enfants et font plus, pour ces derniers, que ce que leur profession implique.
FAUT-IL ABSOLUMENT PERSISTER DANS L’ERREUR POUR LA SEULE RAISON QUE « C’EST COMME çA » ?
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