Bon, si j’ai bien compris, la réponse, c’est une répétition incessante de « notre enseignement est là pour promouvoir la communication inter-européenne ; que l’espéranto devienne langue européenne et on vous l’accorde » et de « il y a plus de cent cinquante langues parlées à travers le monde sans compter les dialectes, et quarante-quatre sont autorisées à l’apprentissage et au baccalauréat en France ; permettre à l’espéranto de devenir la quarante-cinquième ouvrirait la porte à toutes les demandes de langues qui n’en font pas partie, ce qui nous mettrait dans un embarras pire encore que lorsqu’on a décidé d’autoriser le Breton, le Basque, le Ch’timi et le Corse, parce qu’on a refroidi les ardeurs des vélléités linguistiques des autres en argant qu’il s’agissaient de langues régionales françaises », c’est ça ?
Bon, et bien il ne vous reste qu’une option : parvenir à sensibiliser Bruxelles à l’espéranto et en faire la langue de l’Europe. Bon courage.
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