Effectivement, on peut aussi mettre en cause le ministère publique. Ce ne serait pas la première fois qu’il se trompe. J’irai même au delà : lavons le professeur de tout. Exit les problèmes de comportement, les problèmes d’alcool. On lui donne un avertissement avec sursi pour cette malheureuse aventure. Après tout, le fils de gendarme l’avait bien cherché, à défier l’autorité du haut de son mètre quarante six et de ses 30 kg et le professeur s’est légitiment senti en danger, d’où sa réaction parfaitement justifiée et compréhensible. Et comme il ne s’est rien passé, on remet ce brave homme qui a des réactions de père de famille parfaitement saines dans une nouvelle classe. De toute façon, les élèves ne courent aucun danger avec lui puisque les faits dont il est fait état dans les journaux sont tous sujet à caution. C’est ça votre version ? C’est ça votre conception de la justice ? Cette justice qui relache des agresseurs parce qu’il y a un défaut dans la procédure ? Cette justice qui relache des agresseurs parce que finalement, l’agresseur a plus de droits que la victime ? Le jeune de 11 ans a été conspué sur toutes les ondes par vous même et vos semblables pour un mot de connard que le professeur n’est même pas certain d’avoir entendu mais on doit respecter la présomption d’innocence pour avoir trainé, plaqué contre le mur et administré une gifle ? Vous êtes grotesque mon pauvre ami !
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