@ l’auteur
Daniel, bravo pour votre article.
Et pour compléter, cette news entendue ce matin comme quoi Ségolène n’était pas sure de vouloir participer aux débats internes au PS. Le vernis de l’icone craque beaucoup plus vite que prévu. C’est catastrophique.
Ségolène surfe sur une vague de popularité qui ne semble pas indestructible : la descente va peut-être se faire aussi brutale que l’ascension.
J’ai été intéressé par un des commentaires fait sur ce fil, ou l’intervenant suggérait que le PS utilisait Ségo en tête de gondole, sachant qu’elle ne servirait que de façade pour gagner les élections. Le pays étant ensuite dirigé par les « éléphants » placés aux différents postes stratégiques du pays.
Je n’avais pas encore vu les choses sous cet angle mais l’idée ne parait pas complètement absurde.
Avant les dernières élections présidentielles, j’avais personnellement une bonne impression de DSK. Mais sa sortie, lors de la campagne de 2002 sur l’insécurité qui était, selon lui, un mythe : je n’ai pas pu lui pardonner ça.
C’est décevant de voir que des personnalités politiques certainement compétentes peuvent à ce point se dédire pour rentrer dans le dogme.
Les socialistes sont en ce qui me concerne une terrible déception (et ce n’est pas faute d’avoir voté pour eux - je l’avoue humblement).
Avec Ségo, on est au top...
- le top de la vacuité. Un sourire, une image de marque et rien derrière
- le top du cynisme : je ne parle de rien pour ne me facher avec personne.
C’est du foutage de gueule grand modèle et avec ça, le PS touche le fond. Ce qui leur manque ? Un tout petit peu de courage politique, et vouloir faire autre chose de d’aller là ou le vent souffle.
Cordialement.
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