Je suis loin d’être un zélote de cette pratique franco-française de la grève et de la manifestation, et je suis d’accord sur le fait que celle-ci, comme souvent, ne peut déboucher sur rien de trés concret en termes de revendications, MAIS :
Quel espace reste-t-il entre "Nicolas 1° le petit" et le "peuple" ? en d’autres termes, quelles sont les médiations de la désespérance croissante, ou même simplement de la grogne populaire, que nous offre cette monarchie élective, dont ce président a poussé au bout - à bout ?- la logique bonapartiste ? ou encore, quel état de coma dépassé faudra-t-il atteindre -aprés les convulsions d’usage- dans la démocratie représentative, sachant par ailleurs que les partis qui s’en réclament sont dans l’état que l’on constate ?
ALORS, cette communion cathartique à encore de beaux jours devant elle, avec les risques à terme que l’on a appris à connaitre, y compris de réaction autoritaire, par défaut de leadership alternatif...
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