Signaler un abus

Ce n’est pas la faute de frappe qu’il faut utiliser contre tall mais la force de frappe. Il faut taper entre les deux oreilles, vu qu’il a un gros cerveau, la cible est large ! C’est immanquable.

Her man Tall Kaput !

Qu’est ce qu’on se marre sur Avox avec des rigolos comme lui !

Hé ! Tall t’as rien compris !

Dans l’affaire Roman Polansky, poil au kiki, il y a eu procès mais comme Polansky avait payé une caution, il comparaissait au tribunal en étant libre. Comme il avait fini par comprendre qu’il risquait de se faire condamné lourdement malgré les arrangements obtenus pour diminuer sa peine en changeant les chefs d’inculpation de viol en relations sexuels sur mineur, il a pris la poudre d’escampette. D’autre part comme aux USA , il faut que le prévenu soit présent au tribunal pour que la sentence soit prononcée et devant son absence le juge a délivré un mandat d’arrestation contre Polansky en fuite ce qui correspond chez nous à un mandat d’amener. C’est ce qui s’est produit en Suisse, Polansky sera renvoyé aux USA pour entendre sa condamnation puisque le procès a eu lieu.

La prescription pour le crime de viol est de 6 ans aux USA mais il n’y a pas que le viol qui lui est reproché dans cette affaire. Il y a son évasion. Hé ! Oui ! Ce n’est pas seulement un délit de fuite qu’il a commis pour échapper à la sentence mais une évasion puisqu’il était resté en liberté sous caution et sous contrainte de se tenir à la disposition de la justice. Comme la France n’extrade pas ses ressortissants, il était à l’abri chez nous en bénéficiant de la nationalité française.

Quant à la prescription qui est de 6 ans et vu que les procédures du procès s’étaient arrêtées pour cause d’absence, la prescription commence au jour du dernier acte de justice. Or la justice Américaine a toujours relancé l’affaire Polansky avant qu’elle ne soit prescrite et comme le décompte de la prescription recommence toujours au jour du dernier acte de justice, la prescription n’aurait été qu’effective qu’en 2011 puisqu’en 2005 la justice avait prononcer un mandat d’amener contre Polansky. Il aurait fallu pour que Polansky s’en sorte qu’un juge oublie de relancer le procès avant la prescription ne soit atteinte. Or jamais la justice américaine n’a oublié de relancer l’affaire Polansky dans les délais.

Hé oui, ça ne rigole pas Tall. En défendant misérablement Polansky t’es rentré dans le club très fermé des pédophiles et autres pédérastes comme ce chroniqueur qui a une belle voix de croque-mort pour commenter les enterrements de luxe.