Voris, merci de ce texte, j’aime bien cette lucidité teintée de nostalgie, on oublie vite qu’avec Chirac, on luttait, mais on ne se sentait pas vraiment menacés, il faisait sa petite cuisine, et il gardait un peu de sympathie, mais avec le nainpérial on comprend vite qu’un nouveau seuil a été passé. à +