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kemilein 25 octobre 2010 14:47

Il n’avait pas le choix.
Mais nous, non plus.

on a toujours le choix (< j’adore cette réplique bancale et bateau)

il avait celui de se petit suicider en abandonnant sa réforme, ou faire l’autiste.
la droite s’en mord la langue, mieux eut valu pour elle limite qu’il s’abstienne (retire son projet) ou abdique, au moins les droit-istes auraient eut une chance en 2012
(dsl pour le verbe avoir, je sais jamais comme l’écrire ><)

le peuple aurait peu fermer sa gueule et souffrir plus encore, oui oui, manque de bol il en a plein le cul et les boules jusque là.

on a tous le choix de se suicider, seulement quand on veut vivre le choix est vite fait.



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