Ce que vous appelez « souplesse » est en fait mollesse et inconséquence.
Je préfère une pensée logique et argumentée. Je suis, mais c’est vous qui ne suivez pas et n’assumez pas votre affirmation peu fine que j’ai réfutée à plusieurs reprises, que je recite donc : « Le luxe est le secteur qui crée la richesse culturelle, sans laquelle il n’y a pas de talents, ni d’artistes... »
Quant à la richesse, il y a pourtant des philosophies ou des religions qui sont majoritaires en France, ou dont ont été adeptes des milliards d’humains, qui la condamnent :
Si vous voulez savoir pour quoi il y a autant de condamnations de la richesse dans des pensées auxquelles ont adhéré de façon plus ou moins conséquente des milliards de personnes (christianisme, taoïsme), dans des philosophies antiques (épicurisme, cynisme) ou chez des écrivains perses, vous trouverez des réponses dans La Violence et le Sacré de René Girard et dans Comment les riches détruisent le monde du journaliste du Monde Hervé Kempf, car l’accaparation injustifiée de richesses et de ressources qui ne sont pas infinies sur cette planète sont meurtrières.
Votre défense des riches et votre défense d’en faire partie (misère : « même pas bibliothèque », écrivez-vous !) m’a fait me souvenir de débats ici sur ce thème : « Pourquoi les pauvres votent-ils à Droite ? » Mais parce qu’ils y trouvent un intérêt ! et "Pourquoi les pauvres votent-ils à Droite ?", réponse à Paul Villach. Dans votre cas, ça doit venir d’un grand altruisme :
Vous parlez de trotskysme, mais je n’en suis pas.
Vous affirmez que je ne connais « rien ni aux créateurs ni aux artistes ». C’est encore faux. Je fais de la photographie artistique et j’en vends, ce que vous auriez vu si vous aviez eu la charité de parcourir mon site avant de parler de moi rien qu’à partir de vos fantasmes simplistes et manichéens.
Vous avez de drôles de conceptions générales qui ne résistent encore pas au moindre contre-exemple : « ce qui fera la différence entre l’amateur et l’artiste c’est précisément le besoin de reconnaissance concrète de l’artiste », écrivez-vous. Or, Denis Diderot n’a pas publié la plupart de son vivant ses œuvres les plus importantes ; et surtout Kafka demanda même qu’on détruise ses oeuvres. Heureusement que des artistes peuvent oeuvrer par amour de créer (ah ! quels amateurs, ne pas être motivés avant tout par le lucre) et autrement que motivés par un besoin de reconnaissance sociale qui ne ferait de l’art qu’une médiocre association à but lucratif.
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