Quoique n’étant pas le seul, cet article ne respecte regrettablement pas une convention orthographique., ce qui risque de créer une confusion ; alors que le cas est absolument unique.
Quand on parle d’un Juif au sens disons « « ethnique » (même s’il se trompe en pensant systématiquement que ses ancêtres génétiques étaient sujets du petit roitelet David : cf. Shlomo Sand !), il est conventionnel de mettre une majuscule au mot utilisé comme nom ; à la différence du mot utilisé comme nom pour désigner un pratiquant d’un des judaïsmes ; dans ce cas « juif » ne prend pas de majuscule.
Cette distinction (majuscule ou non) qui n’existe pas pour le mot « juif » utilisé comme adjectif ne peut qu’aider à mieux (se) comprendre et éviter des malentendus. Et c’est bien pourquoi, lorsqu’il s’agit de l’adjectif et que ce n’est pas évident, il est bon de préciser si on parle du « peuple » ou d’une version 2011 de la religion initiale
En intégrant le cas des Khazars, on peut éventuellement contester que les Juifs soient un vrai peuple plus que trimillénaire ; mais, néanmoins, mettre cette majuscule conventionnelle permet au moins de distinguer entre le Juif de très vieille ascendance juive d’avant notre ère dite chrétienne d’avec le juif pratiquant qui peut être à la limite un goy (un non Juif) converti de fraîche date.
Il y a donc des Juifs juifs et des Juifs non juif et même des non Juif juif.
Conclusion : la mosquée de Paris a sans doute caché des Juifs juifs et des Juifs non juifs
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