Il faudrait déjà savoir avec certitude d’où vient cette contamination, ce qui n’est pas forcément impossible. Voir notre article :
http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/11/16/iode-131-communiques-de-la-criirad-i.html
Iode 131 : communiqués de la CRIIRAD (I)
Le 16 novembre, une dépêche Romandie News/AFP se fait écho de la préoccupation exprimée le même jour à juste titre par la Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la Radioactivité (CRIIRAD) devant le fait que l’origine de la contamination d’Iode 131 détectée depuis quelques semaines dans plusieurs pays européens (République Tchèque, Pologne, Allemagne, Hongrie, Autriche, Slovaquie...) reste toujours inconnue. Suite au communiqué de presse de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (IAEA), l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) français a confirmé la présence dans l’air, en France, de traces d’iode 131 que l’IRSN considère « imputables à des rejets radioactifs venant d’un pays étranger ». De son côté, un blog de Médiapart écrit « Iode 131 en Europe : l’AIEA cherche propriétaire désespérément ». Sciences et Avenir relève « Iode 131 en Europe : origine toujours inconnue ». Un article d’AgoraVox interroge « Pollution à l’iode radioactif en Europe : Accident à la centrale de Krško ? », des pollutions au Césium 134 et au Césium 137 ayant aussi été observées la centrale nucléaire de Krško en Slovènie. Ce que Cent Papiers a également souligné dans un article intitulé « Iode 131, césium 134 et césium 137 à la centrale de Krško (Slovénie) ». Le 16 novembre également, Enviro2B commente : « Radioactivité – Contamination « très faible » mais « opaque » en France », et rappelle notamment la pétition « pour une transparence totale sur la radioactivité de l’air que nous respirons » lancée par la CRIIRAD. Cette pétition demande la levée du secret sur les résultats des laboratoires qui, dans le monde entier, surveillent au quotidien la radioactivité de l’air à la recherche d’indices d’une possible violation du Traité d’Interdiction Complète des Essais Nucléaires (TICEN). Il paraît évident que la situation qui s’est créée à l’échelle planétaire depuis l’accident de Fukushima exige la plus grande transparence de la part des institutions.
[la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/11/16/iode-131-communiques-de-la-criirad-i.html ]
Cordialement
Le Collectif Indépendance des Chercheurs
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