vous écrivez : "
Seul l’individu sait ce qu’il veut« ..
Quatsch.. Il a pas de déterminants l’individu ? Avant ? Autour ? Intéressés ? Par milliers ?La publicité ? Disney ? Gourmands ? Enclins à le gaver comme une volaille ? Lui réserver le sort que l’on sait ? Lui faire dépenser, le crétin, son argent tout de travers, par tirs nourris de réclames interposés ?
Il a pas de gens et d’argent qui s’occupent de lui l’individu ? Il a pas de taxes à payer l’individu ? De »standing« à garder ? De comptes à rendre à son effrayant biotope social fabriqué par des banksters très-volontaires, très-prédateurs ?
Elle serait immanente sa volonté à l’individu ? Sacrée ? Intouchable ? Absolue ? Inaltérable ? Protégée ?
Vos raisonnements sont imprudents et bien fragiles, la marque de fabrique de la »pensée" économique.. Rudimentaire, sous-développée.
Tout à l’avenant. Et vous persistez dans l’expression du non-sens.