Sur le fond, que dalle à claper.
Marine le Pen a très vite botté en touche et appliqué la politique dite du hareng fumé*.
Elle m’a décu Marine. Je m’attendais à une belle castagne avec lèvres fendues, pifs éclatés, pommettes explosées, ratiches éparpillées, oreilles arrachées, mais rien de tout cela. Elle n’avait pas faim, elle chipotait, elle a boudé le combat Fifille. Elle a poussé la bouffonitude jusqu’à fayoter Pujadas !
Ah ! comme je regrette son vieux père ! Lui, c’était dans les roustons illico scrogneugneu.
Marine, en bonne féminité, aurait pu répondre plus sainement sur l’IVG. Nostalgie du bon vieux temps où les faiseuses d’anges officiaient entre deux tricots pour les filles du peuple, et où les belles dames de la ville recouraient aux confortables cliniques helvétiques ?
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* On raconte qu’aux Etats-Unis à moins que ce soit au Canada, des prisonniers en cavale lançaient des harengs fumés à droite et à gauche du chemin pour distraire les chiens et faciliter leur fuite. Je ne sais si l’histoire est vraie, mais elle amusera peut-être les enfants, adultes compris.
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