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On pourrait remplacer tout ce nucléaire si embarrassant si seulement on voulait bien s’intéresser à la ressource de demain, le gaz de schiste. Surtout depuis que la menace d’une invasion de sorcières à balais s’éloigne. (On me dit qu’il ne ’s’agit pas de sorcières mais de réchauffement, dont acte).
C’est dommage, parce que cette histoire de sorcières (pardon de réchauffement) c’était un bon truc pour se faire obéir et s’en mettre plein la poche.
J’ai un ami auvergnat qui dit toujours : celui-là, il est con à se les geler le cul sur une citerne de gaz.
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