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Bon article, qui bien que court alimente le débat

Je suis assez optimiste sur l’égalité homme-femme, bien que le terme ne me parait pas adéquat. Mais qui peut être opposé à une volonté d’harmonisation de la société. La psychologie et la sociologie, valeurs servant à justifier des positions acquises, sont des sciences évolutives.
De même que l’homme et la femme.

Ma-demoiselle, ma foi je n’y avais jamais pensé ; mais on pourrait aussi bien décliner du mon-sieur.
Faire une opération stalinienne sur la langue française me parait être d’une bêtise et d’une ineptie totale, tout comme ce prétexte d’égalité, appliqué justement à la république des soviets, qui, a amené là où nous savons.
Voilà que l’on veut s’attaquer aux accords, certains ou certaines ne supporteraient pas le masculin l’emporte sur le féminin. C’est là confondre la lettre et l’esprit, et ce n’est pas peu dire.
 Vive l’égalité des sexes et des droits, mais à bas une société du politiquement correcte, sans saveur aucune.
Heureusement, la plupart des femmes ne considèrent pas encore que de se mettre en jupe est se mettre ostensiblement sous le regard du mâle dominant, en tant qu’objet : Dérives parfois totalitaires du féminisme.
Il en est de même pour la liberté, la sécurité surtout, qui sous ses airs de mot mère poule, cache l’enfer d’une société du controle.

Quand j’’ai écrit « à bas » un peu plus haut, j’ai pensé aussi « à mort ».
Et je me suis rendu compte que cette exclamation a disparu du champ des expressions, comme tant d’autres si usités, que l’on s’aperçoit un jour avec surprise qu’elles sont maintenant démodées.
C’est que les rapports de violence sont maintenant expurgés du champ léxiqual, et social. On ne donne plus « de coups de pieds au cul » aux enfants. Il reste des mâles impulsifs, mais la condamnation sociale me semble condamner ce genre de pratiques.

Quid de cette journée de la femme. Espérons qu’un jour on n’en aura plus besoin.
Espérons aussi qu’on aura pas à se confronter à une journée de la pauvreté,
 mais ça semble malheureusement bien parti.

A moins que !

Tous les excès totalitaires des dernières années, ayant amené les catastrophes économiques et écologiques peuvent amener maintenant à un renouvellement de l’éthique, dans lequel le débat confrontation homme-femme sera le premier à être dépassé